Un des meilleurs livres que j'ai lu depuis longtemps:
A dévorer sans modération.
Le portrait des héroïnes est magnifique.
"Il y avait tant de choses auxquelles elle aspirait à cet instant. Pourtant, plus que des regrets, ce fut un profond sentiment de paix qui s'empara d'elle tandis qu'elle fermait les yeux. Elle pensa à son entrée dans ce monde, elle, l'enfant "harami" d'une pauvre villageoise, la fille non désirée, le regrettable et pitoyable accident.
La mauvaise herbe. Aujourd'hui, c'est une femme ayant aimé et ayant été aimée en retour qui s'en allait. Elle était devenue une amie, une compagne, une gardienne. Une mère aussi. Une personne importante, enfin. Non, ce n'était pas si mal de finir ainsi, songea-t-elle. Pas si mal du tout. La fin légitime d'une existence qui l'aivait été si peu au début."
"Mariam n'est jamais très loin. Elle est ici même, dans les murs qu'ils ont repeint, dans les arbres qu'ils ont plantés, dans les couvertures qui tiennent chaud aux enfants, dans leurs oreilles, dans leurs livres, dans leurs crayons. Elle est présente dans les rires aussi, et dans les prières qu'Aziza murmure lorsqu'elle s'incline vers l'ouest. Mais surtout, Mariam est présente dans son coeur à elle, où elle brille avec la force et l'éclat de mille soleils splendides."
A dévorer sans modération.
Le portrait des héroïnes est magnifique.
"Il y avait tant de choses auxquelles elle aspirait à cet instant. Pourtant, plus que des regrets, ce fut un profond sentiment de paix qui s'empara d'elle tandis qu'elle fermait les yeux. Elle pensa à son entrée dans ce monde, elle, l'enfant "harami" d'une pauvre villageoise, la fille non désirée, le regrettable et pitoyable accident.
La mauvaise herbe. Aujourd'hui, c'est une femme ayant aimé et ayant été aimée en retour qui s'en allait. Elle était devenue une amie, une compagne, une gardienne. Une mère aussi. Une personne importante, enfin. Non, ce n'était pas si mal de finir ainsi, songea-t-elle. Pas si mal du tout. La fin légitime d'une existence qui l'aivait été si peu au début."
"Mariam n'est jamais très loin. Elle est ici même, dans les murs qu'ils ont repeint, dans les arbres qu'ils ont plantés, dans les couvertures qui tiennent chaud aux enfants, dans leurs oreilles, dans leurs livres, dans leurs crayons. Elle est présente dans les rires aussi, et dans les prières qu'Aziza murmure lorsqu'elle s'incline vers l'ouest. Mais surtout, Mariam est présente dans son coeur à elle, où elle brille avec la force et l'éclat de mille soleils splendides."
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